WULOLIFE
"Dirty Work" Auteur : [États-Unis] Eyal Pres Éditeur : Guangxi Normal University Press
"Dirty Work" Auteur : [États-Unis] Eyal Pres Éditeur : Guangxi Normal University Press
Description
Introduction au contenu········
Les impuissants font le sale boulot, tandis que les puissants restent assis et profitent des récompenses.
Le travail nécessaire au fonctionnement de la société est ignoré, voire vilipendé.
Nous faisons semblant de ne pas le voir, mais les inégalités ont atteint leur moment le plus dangereux.
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【Recommandation de l'éditeur】
⭐Le récit cruel de la société contemporaine, observant les nouvelles dimensions des inégalités et révélant les coûts moraux supportés par les travailleurs migrants
Un nouveau regard sur des métiers essentiels mais éthiquement discutables de la société : ouvriers d'abattoirs, gardiens de prison, opérateurs de plates-formes pétrolières...
En raison de sa violence et de ses préjudices, ce type de travail est considéré comme un sale boulot, causant stigmatisation, humiliation et traumatisme mental à ceux qui l'exécutent. Cependant, le soi-disant « sale boulot » a l'assentiment du public. pour avoir la conscience tranquille, nous préférons être dans le noir.
Ces travailleurs invisibles constituent le 1 pour cent oublié, responsable de 100 % du sale boulot de la société. Ils sont victimes des inégalités structurelles et privés de leur innocence.
Lorsque le travail ne jouit plus de dignité, la pauvreté signifie un échec moral, les impuissants et les impuissants trahissent leur conscience, et les puissants s'assoient et profitent de leurs gains. Avons-nous une option de sortie ?
⭐L'arrogance des élites dans la société du risque, révélant la collusion du capital, du pouvoir et de la technologie, comment priver les pauvres de leur dernière conscience
Après la marée noire, ce sont les pélicans couverts de pétrole qui ont fait la une des journaux, et non les équipes de forage mortes. Alors que le scandale de la sécurité des abattoirs éclate au grand jour, les convives s'inquiètent de la viande dans leurs assiettes, et non des travailleurs maltraités. Les programmeurs qui capturent illégalement des informations personnelles reçoivent des salaires élevés, ce qui fait que « ne faites pas le mal » n'est qu'un discours vide de sens.
La civilisation cache la violence dans les coulisses de la vie sociale. Les élites sociales qui occupent une position morale élevée échangent leurs privilèges contre de la vertu et utilisent le consumérisme pour éliminer la complicité dans les mauvaises actions.
Nous sommes dans un pays civilisé, mais nous sommes devenus complices de la barbarie. Il est parfaitement conscient de la souffrance au loin, mais ferme les yeux sur le mal qui l’entoure.
⭐Un merveilleux ouvrage d'information et de documentaire, écrit avec tendresse par un sociologue, créant une biographie de chaque travailleur migrant réduit au silence et dissimulé
Voyagez au cœur de l'Amérique, derrière ses murs, jusqu'à ses marges géographiques et sociales. Les mineurs d'Orwell, les prisonniers pénitentiaires de Dickens, réapparaissent également dans ce livre.
L’auteur utilise des perspectives non fictionnelles et sociologiques, basées sur plusieurs années d’entretiens de suivi, et utilise des données détaillées et la théorie sociale pour réinterpréter le sens contemporain de l’inégalité.
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【Recommandé par tous les horizons】
Même avant que la pandémie de COVID-19 ne révèle notre dépendance à l’égard des travailleurs essentiels, il existait un groupe de personnes occupant des emplois auxquels nous ne voudrions peut-être pas penser. Dans ce livre perspicace, incisif et magnifiquement écrit, Eyal Preis explore la vie des personnes qui exercent ces métiers : agents pénitentiaires, opérateurs de drones, femmes d'abattoirs. « Dirty Jobs » ne juge pas, mais confronte une série de questions morales profondes et difficiles. Elle révèle des liens de complicité, des histoires qui n'appartiennent à personne d'autre et dans lesquelles chacun de nous est impliqué. C'est un livre incisif et important.
--Patrick Laden Keefe, auteur de "Empire of Pain"
Dans ce livre riche et troublant, Eyal Pres met en lumière la stigmatisation et le préjudice moral que nous imposons aux membres les plus vulnérables de la société. À l’abri des regards du public, les gardiens de prison, les employés des abattoirs et les opérateurs de drones font le sale boulot de la société. Le livre suscite une réflexion publique sur les inégalités au travail en révélant à quel point nous sommes tous impliqués dans le sale boulot que nous sous-traitons à d’autres.
--Michael Sandel, auteur de "L'arrogance des élites"
Inquiétant et nécessaire... Dirty Jobs nous montre la laideur presque à chaque page, mais l'auteur veut toujours que nous mettions de côté notre cynisme et notre pessimisme et que nous nous joignions à lui pour trouver des moyens de renforcer les liens moraux entre nous.
——La critique de livre du New York Times
Ce ne sont pas les lunettes roses qui empêchent d’avoir une vision claire de la situation réelle ; ce sont les lunettes arrogantes à monture dorée de l’élite qui aveuglent les privilégiés aux derniers rangs de la foule.
——"Érudit américain"
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【Introduction】
Pourquoi y a-t-il encore des gens qui se précipitent pour exercer des professions à la fois immorales et déshonorantes ? Lorsque le travail n’est plus digne, avons-nous la possibilité d’arrêter ? Dans ce récit non fictionnel sur les professions et les inégalités, l'auteur évoque le concept de « sale boulot », des emplois qui font partie intégrante de la société mais considérés comme sales et subalternes, comme le travail des migrants dans les abattoirs. Ces personnes sont impuissantes, précaires et souffrent d’humiliation et de remords de conscience. Et le public préfère rester dans le flou. Ce livre décrit comment le capital conspire avec le pouvoir et la technologie derrière le « travail invisible » pour façonner une structure de pouvoir inégale, et révèle la vérité sur les coûts moraux cachés du travail.